La complainte d'un ange [libre]

Mistuko avait quitter son village pour une importante mission, escorter de ses gardes, elle dut user d'une de ses stratégie les plus simple pour leur fausser compagnie. Elle échangea donc sa place avec une de ses ninja copieuse pour aller là où elle désirée aller, seul, mais bien accompagner pourtant, puisqu'elle avait prit ses affaire de ninja assassin et surtout qu'elle user de son ouïe plus fine que la normale pour entendre ce qui venait au tour d'elle.
Une foi arrivée a Yumikure elle alla se posée près des reste d'un mure de l'hôpital et, a genoux devant ce mur, elle se mit a priée pour toute les âmes des morts qui avait eut lieux lors des combats. elle avait déjà fait cela pour le QG, et l'académie, et le ferrait sans doute pour les autres lieux jusqu'à ce qu'elle eut prier pour toute les âmes qu'elle ne put sauvée.
Elle finit donc par se mettre a chantée un chant a l'hommage des mort et du royaume des esprit pour guider les âmes perdue en ce lieux vers le repos éternel.

Une ombre. Rien d'autre qu'une ombre sur le sol. Inaudible, invisible, inodore, une ombre sans objet ni soleil pour en fabriquer une. Cette ombre ne bougeait pas d'un milimètre. Elle observait Minawo avec toute la curiosité qu'une simple ombre puisse avoir. Lorsque la Takage eut fini son chant si particulier, l'ombre se matérialisa à plusieurs mètre derrière elle, se soulevant du sol pour prendre la forme d'une autre jeune femme aux traits fins et durs, aux yeux foncés et froids et à l'aura d'un mystère terrifiant. Mataki battit des paupières et, sans faire un pas, interpella Minawo.

- Pourquoi pries-tu pour des gens qui te sont inconnus ? Pourquoi pries-tu pour des rats qui ont osé défier les plus grandes nations de ce monde ?

Mitsuko Avait tout juste finit de priée pour le repos des âmes qui se trouver dans le lieux qu'une voie l'interpela. Elle semblait venir d'une femme. Mitsuko se retourna lui fessant face avec ses yeux d'un rouge rubis inexpressif et sa peaux 'un blanc neige. elle fixa un moment en silence la jeune femme qui lui avait demander le motif de son envit de priée. Mitsuko répondit enfin de sa voie posée et enchanteresse.

"Je prit pour le repos de tout ce qui son tombé! Il on suivit des ordre hypocrite et son mort pour rien! Je viens leur donner le dernier des hommage pour qu'ils puissent rejoindre les leurs dans la paix et la sérénité! Mais toi? Pourquoi mes prière te dérange?"

La voie de la jeune femme était rester neutre mais pourtant Mataki pouvait sentir le danger que représenté cette fille aux aire maladif.

[Je peux?]

Comme Momoko adorait faire des visites improvisée, juste pour désespérer ses amies, elle décida de sortir un peu voir Mataki.
Au passage, elle largua ses enfants chez Lunaka, bonne mère comme elle est.
Malgré son sens de l'orientation très peu... développé, elle arriva à Yumikure.

*Mais comment veux tu trouver quelqu'un dans ce champs de bataille ? Bon, je me fit à mon instinct.*

Bien lui en prit car elle arriva sur les ruines de ce qui a dû servir d'hôpital autrefois. Ce fut là qu'elle vit Mataki et une autre jeune femme.
Elle avait deux possibilités devant elle : soit sauter sur Mataki en hurlant son nom, comme elle semblait occupée, elle pourrait ne pas la remarquer, soit venir calmement, les mains dans les poches, donner son avis sur... euh, la chose.
Elle opta pour la seconde possibilité. Elle n'était pas suicidaire, quand même.
Elle passa donc tranquillement entre les deux jeunes femmes, puis se retourna en souriant :

- Salut.

Mataki semblait à peine impressionnée par l'apparence inquiétante de Mitsuko. Elle avouait que l'aura de la jeune femme était certes spéciale, mais elle avait vu bien pire... ou "était" bien pire. Battant des paupières comme elle le faisait souvent, la Senkage s'autorisa l'ombre d'un sourire railleur.

- Elles ne me dérangent pas. C'est d'ailleurs très charitable de ta part. Rare sont les gens de ce monde qui viennent à Kage no kuni pour perpétrer le souvenir de la plus puissante nation d'autrefois. Je me demandais limite si le pays de l'Ombre n'était effacé des mémoires pour de bon.

Mataki ne bougea pas d'un cheveu. Même la brise chariant cette brume noirâtre si particulière à Yumikure ne réussit pas à faire voler ses mèches platines. Soudain, une silhouette familière aux yeux de la Créature de l'Ombre entra en plein milieu de son chant de vision. Etrange que la jeune mère des triplés n'ait pas opté pour l'entrée fracassante.

- Momoko. Cette manie de faire des visites surprise... Salut.

Mitsuko sembla amuser du commentaire de la jeune femme. Le vent semblait atteindre autant le jeune fille des ombre qu'il atteignait Mitsuko. Soudain une autre personne arriva. A ce moment Mistuko eut un petit sourire amusé.

"Pour un village oublier je trouve qu'il est assez peupler!"

Mitsuko se posa doucement sur une des pierre décombres des lieux et comme si elle se sentait enfin en paix poussa un soupire de soulagement.

"Un instant j'ai crut que je devrait me battre contre des membre des village de konoha ou Suma mais à en voir vos bandeaux je voit une non-ninja et une de ce charment village!"

Posée ainsi on pouvait voir son badeaux du village d'Oto.

- Momoko. Cette manie de faire des visites surprise... Salut.

Momoko répondit à Mataki par un sourire mi-sadique, mi-taquin. Il fallait bien ne pas perdre les bonnes habitudes ! Puis elle regarda la deuxième femme qui venait de prendre la parole.

"Pour un village oublier je trouve qu'il est assez peupler!"

Peuplé ? Elle avait dit peuplé ? Eh ben. Elle la suivit du regard : elle venait de s'assoir.

"Un instant j'ai crut
que je devrait me battre contre des membre des village de konoha ou
Suma mais à en voir vos bandeaux je voit une non-ninja et une de ce
charment village!"

Hein ? Konoha ? Suna ? Ces noms lui disaient quelque chose... Elle regarda Mataki à la recherche d'inspiration et se souvint qu'elle avait vécu à Konoha. Du coin de l'oeil, elle remarqua le bandeau de l'inconnue et constata qu'elle ne souvenait plus de son symbole.

*Je crois que j'aurais dû écouter les cours de ma sensei, plsu jeune... Ce bandeau ne me dit rien... Bah.*

- J'ai pas de bandeau mais ça veut pas dire que je ne sais pas me battre... Et puis, pourquoi se battre ? Hein, Mati-chan ?

Qu'est ce qu'elle aimait donner des surnoms débiles à Mataki... Mais bon,,si elle continuais, elle allait se faire frapper.

"Ce charmant village" ? Ruines. Cendres. Noir et gris. Avant, ces couleurs étaient pleines de vie, malgré les apparences. Maintenant, elles semblaient terriblement ternes aux yeux de Mataki. Sortant de ses pensées nostalgiques, la jeune femme suivit Minawo du regard tout comme Momoko avant de jeter un oeil fusillant à cette dernière. L'héritière grogna, devenant soudain presque comique, à l'opposé de son caractère.

- Tu m'appelles encore une fois avec un truc débile comme ça et je te fous une baffe.

Une goutte dernière la tête, elle toussa pour se donner une contenance puis reprit de sa superbe pour mieux revenir sur la Takage. Sa présence la troublait. Seuls les brigands en fuite venaient à Kage no kuni. Les marchands nomades ne faisaient qu'y passer pour pouvoir rallier Hi no kuni et Kaze no kuni. Mataki s'avança de quelques pas vers Minawo de sa marche silencieuse.

- Tu es de Ta no kuni. C'est tout à ton honneur de rendre hommage aux miens, mais je ne comprends pas pourquoi tu te donnes cette peine alors que ton pays n'est pas concerné.

Mataki, ou l'art de faire un interrogatoire avec délicatesse et sympathie.

Mitsuko regarda la jeune femme non-ninja un moment, oui elle n'était pas une ninja, mais elle avait de quoi tenir tête à n'importe lequel de ses ninja débutant. Puis la voie de l'autre jeune femme la ramena à celle-ci. elle voulait savoir pourquoi elle venait rendre hommage aux mort de cette ville qui ne la concernée pas. Mitsuko la regarda avent de répondre de sa voie douce et calme.

"Je rend hommage à tout ce qui sont mort! Je sait ce qu'est la mort! Et je sait comme il est triste d'être oublier! Peut de gens savent pourquoi ma famille eut était interdit de participer à cette guerre chez moi! Oui! Rare son ceux qui savent que la famille Minawo est une famille qui se trouve dans tout les village de ce monde! J'avais des parents ici! Comme j'en ai à Kiri ou à Konoha! C'est ce lien de parenté qui fait que nous somme interdit à devenir ninja à la base! Mais la guerre m'a permit de passer outre et c'est pour cela que je suis ninja! Mais voit tu! Ici repose peut être un de mes cousins!"

Mitsuko fixait Mataki avec un aire des plus soumit et des plus triste.

Momoko avait visé juste : Mataki détestait les petits surnoms. Raison de plus pour lui en donner... Mais pas maintenant, elle allait se faire frapper, sinon.
Après avoir entendu Mataki parlé, Momoko se douta que la conversation allait être barbante : elle a toujours été nulle en politique et tout le tralala... Mais elle savait qu'elle devait garder un air sérieux même si elle ne comprenait rien à la conversation.

*Ah, elle avait dit "mort", elle connait la mort... Euh, pourquoi pas ? Ah, la famille. Pff... C'est chiant.*

Momoko décida alors de s'assoir par terre et prêter attention aux brins d'herbes qui commençaient à pousser sur la terre brulée.

* C'est déjà plus intéressent. Ah, j'ai faillit oublier.*

Elle leva son regard et fit une tête qui se voulait compréhensive, tout en la hochant de haut en bas. Non, elle n'écoutait pas de Jazz...

- C'est sur, tu as raison.

Même si elle n'avait rien compris, elle avait raison. Momoko songea qu'il faudrait peut-être plus étudier pour mieux comprendre ce qui l'entourait.

Sujet: Re: La complainte d'un ange [libre] Mer 1 Oct 2008 - 20:02

Mataki leva les sourcils au discours plein de désolation de Mitsuko. Elle croisa les bras en laissant ses yeux exprimer toute sa... enfin, toute son... ... Ne rien exprimer du tout, en fait. Comme toujours, en somme. Elle soupira pour ensuite toiser la jeune Takekage de toute sa froideur.

- C'est pathétique.

Sa phrase préférée.

- Libre à toi de perdre ton temps à pleurer sur des gens, même de ta famille, que tu ne connais pas. Qu'importe, je n'ai aucune raison de me mêler de ça. Fais cependant attention à ne pas traverser une fois de plus ce territoire seule, qui que tu sois, puissante ou non. Il pourrait t'arriver des bricoles, et je ne vois pas l'intérêt de créer du grabuge ici alors que c'est déjà dur de faire respecter ma loi avec tous les criminels qui se réfugient dans ce pays.

Son visage se tourna ensuite vers Momoko. Ca faisait un petit bout de temps qu'elle n'avait pas revu son amie si bonne cuisinière. Bien sûr, la bouffe que préparaient les retaurateurs du clan était mangeable, mais rarement variée.

- Momoko. Obsédée par les affaires, je n'avais pas réalisé que ta bouffe me manquait. Il y a moyen que je vienne gueuleter chez toi, un de ces quatre ?

Sujet: Re: La complainte d'un ange [libre] Jeu 2 Oct 2008 - 14:15

Mitsuko fit un petit sourire pour dire qu'elle comprenait ce que disait la jeune ninja et se remit à prier tout en gardant un oreille sur ce qui se disait dernière elle. elle ne voulait plus parler, elle avait déjà trop parler selon elle. Mais elle devait finir ses prières, elle fit alors re-résonner sa voie au accent angélique dans une prière pour le repos des âmes des damner. quelque flammèche répondirent à son appel et cet foi la jeune fille se trouver entourée de flammerole signe des âmes errante. Pour toute réponse la jeune fille fit exploser son chakra, des ailes de pur chakra rouge sortirent de son dos, c'était une des bizarrerie de la jeune fille, son chakra prenait cette forme quand elle s'en servait. ainsi de ses ailes rouge des plume se mirent a tournoyer au tour de la chanteuse la protègent des attaque extérieur qu'elle soit physique ou spectrale.

Sujet: Re: La complainte d'un ange [libre] Jeu 2 Oct 2008 - 21:06

Toujours assise à terre, la tête levée, Momoko écouta mataki sans trop prêter attention à ses paroles, jusqu'à ce qu'elle prononce son nom. Elle bougea ses petites oreilles sous sa touffe de cheveux et se concentra sur ce qu'elle avait à lui dire. Son sourire fendit son visage, montrant ses dents. Elle était ravie.

- Bien sur, ma porte est et sera toujours ouverte... Dit-elle en se relevant et secouant son mini-kimono et remettant ses chaussettes. Mais je te préviens de suite, y'aura souvent les triplés dans mes pattes. Surtout les filles, Obito est souvent enfermé dans son laboratoire.

Momoko reporta son attention à l'autre ninja : Elle s'était tut et des flamèches lui tournaient autour. Elle pencha sa tête à droite, signe qu'elle ne comprenait pas ce qui se passait, et regarda des ailes de chakra rouge entourer la jeune femme. Elle jeta un coup d'oeil 0 Mataki, dans l'espoir d'avoir une expliquation. Elle en avait oublié de lui sauter au cou.

Les triplés... Mataki était un peu devenue leur marraine. Elle avait réussi à se prendre d'affection notamment pour les garçon. Allez comprendre. Quoiqu'il en soit, elle hocha la tête en signe de remerciement puis jeta un coup d'œil à Mitsuko et sa démonstration d'apothéose en prière. Captant le trouble de son amie, elle tourna un instant la tête vers Momoko.

- Des âmes errantes. La plupart est originaire de l'ancienne Yumikure. Il y a des chances pour que quelques-unes aient appartenu aux ninjas des autres pays, morts par la soif de sang des Enfants de l'Ombre. Notre chère Takage gaspille son chakra pour les invoquer.

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